011 - C'est gentil d'être restés...
Di diou, le 8 décembre, c’est la date de parution de mon dernier article ici ! Comme quoi je ne vois pas le temps passer, moi. En vérité, la raison est toute autre, je suis incapable de m’imposer cette discipline, celle-ci comme n’importe laquelle. Ecrire chaque jour ou presque, même (et surtout) quand on n’a rien à dire, j’y arrive pas vraiment, c’est l’envie qui commande, voilà.
Donc, l’Aïd est passée, puis noël, puis le jour de l’an, puis la st valentin… Autant dire qu’on est tranquille maintenant avec les fêtes à la c.., au moins pour les trois mois qui viennent.
Souviens-toi, ami lecteur – car tu es mon ami, n’est-ce pas ? Si si, tu l’es, puisque tu te fade sans sourciller mes élucubrations, et ça, seul un ami, un vrai, en est capable, ou alors le dernier des abrutis, mais tu n’entres pas dans cette catégorie, humm ? – bref, souviens-toi, disais-je, j’étais parti pour te tenir en haleine avec mes histoires d’appartement, de légalisation, de contrat de travail, etc. sauf que le temps passant, les choses s’arrangent, et du coup j’ai pas très envie de me replonger dans ces galères, que j’ai (presque) chassé de ma mémoire si sélective.
Aujourd’hui, tout va bien, enfin mieux, soyons prudent, donc j’ai surtout envie de consacrer du temps à bosser correctement, et j’ai besoin de tout mon jus de cervelle pour ça, afin de pondre des campagnes de la mort avec des accroches aussi intelligentes que « des hommes qui relient les hommes », « bosch c’est bien », ou « kesse tu bois doudou dis donc »… Oui je sais, je vise haut, mais je suis un fou, moi, j’ai pas peur. « Ironie » ne prend qu’un « n », je crois, comme « cynisme », non ?
Donc, je me propose de te faire un résumé quelque peu succinct des événements des deux mois passés, afin de reprendre ensuite le cours de mes récits, sans aucune obligation de régularité, ce qui m’arrange, vois-tu.
Donc, tout ça, c’est à partir de la prochaine fois, c'est-à-dire… dès que j’en aurais envie, quoi.
Sur ce, je te souhaite la bonne nuit, ami(e), et te dis à demain inch’allah…